Les associations doivent se faire connaître et se faire reconnaître.
Avoir une identité visuelle connue du public est utile pour peser sur les événements, manifester son utilité sociale, recruter de nouveaux membres, etc.
Il s’agira d’abord de déterminer :
- le public prioritaire de l’Association
- le message principal que l’on veut faire passer (le plus simple et le plus clair possible)
- le ton général de la communication (exprimer surtout la sensibilité de l’Association)
- la méthode d’évaluation de l’impact de la communication
Cela implique :
- un projet clair en ayant à l’esprit les objectifs et les besoins de l’Association.
- d’évaluer ses moyens (financiers, ressources humaines) avant de se lancer dans une opération d’envergure.
- une communication intégrée où l’ensemble des membres engagés dans l’action participent d’une manière ou d’une autre dans les opérations de communication.
- de marquer sa différence, de communiquer l’originalité de l’Association et des services qu’elle offre.
- de savoir-faire et de savoir-dire (créer des dossiers de presse, des fichiers, etc.)
- de faire savoir à temps (donner son avis sur un projet avant qu’il ne soit voté, communiquer la date d’une manifestation ni trop tôt, ni trop tard).
L’idéal est de réussir à bénéficier des conseils d’un.e professionnel.le (journaliste, publiciste, graphiste). Il est indispensable de trouver, au sein du Comité, des personnes disposées à se charger des relations publiques qui seront responsables de :
- la réalisation des documents (plaquette d’information, charte institutionnelle, etc.)
- leur diffusion
- du relais entre l’association et les médias (presse, radio, télévision)
- de la documentation sur des domaines proches des préoccupations de l’association
- de l’élaboration d’une « revue de presse » sur l’association
- etc.
Un budget spécial communication
Les actions de communication, si réduites soient-elles, ont toujours un coût. Même si le budget global est modeste, il convient de retenir une rubrique « communication » pour ne pas devoir abandonner en cours de route une action, faute de moyens pour en assurer la promotion.